Lorsque la croissance économique freine et que l'inflation due aux tarifs se resserre, le choix devient assez clair : le capital gagne, le populisme perd. Nous assistons probablement à un pivot calculé sur l'application de l'immigration malgré la rhétorique de campagne. Pourquoi ? Parce que les entreprises ont besoin de travailleurs, les marchés ont besoin de stabilité, et Wall Street a besoin de certitude. La stratégie ? Rediriger la frustration des électeurs vers les élites culturelles et les cibles institutionnelles tout en s'éloignant discrètement des répressions économiques perturbatrices sur l'immigration. C'est un théâtre politique rencontrant la réalité économique. Pour les marchés, regardez comment cela se déroule : la flexibilité de la politique d'immigration pourrait soulager les pressions sur le travail et modérer l'inflation salariale, mais le récit anti-establishment maintiendra la volatilité en vie. Les flux de capitaux suivent le pragmatisme, pas les promesses.
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MetaMaskVictim
· Il y a 5h
ngl les acteurs du capital sont juste des acteurs du capital, ce qui avait été promis en tant que contre-système se retrouve à devoir obéir à Wall Street...
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BridgeJumper
· Il y a 5h
Le capital gagne toujours, ce piège je l'ai assez vu, plein de belles paroles, au final ce n'est pas pour stabiliser le marché 💀
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MissedAirdropBro
· Il y a 6h
C'est encore le vieux stratagème où le capital décide, on promet une contre-établissement mais on doit quand même se soumettre à Wall Street, c'est risible.
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GhostInTheChain
· Il y a 6h
Encore ce vieux tour, la position ferme promise devient molle face à la réalité économique, ça me fait rire.
Lorsque la croissance économique freine et que l'inflation due aux tarifs se resserre, le choix devient assez clair : le capital gagne, le populisme perd. Nous assistons probablement à un pivot calculé sur l'application de l'immigration malgré la rhétorique de campagne. Pourquoi ? Parce que les entreprises ont besoin de travailleurs, les marchés ont besoin de stabilité, et Wall Street a besoin de certitude. La stratégie ? Rediriger la frustration des électeurs vers les élites culturelles et les cibles institutionnelles tout en s'éloignant discrètement des répressions économiques perturbatrices sur l'immigration. C'est un théâtre politique rencontrant la réalité économique. Pour les marchés, regardez comment cela se déroule : la flexibilité de la politique d'immigration pourrait soulager les pressions sur le travail et modérer l'inflation salariale, mais le récit anti-establishment maintiendra la volatilité en vie. Les flux de capitaux suivent le pragmatisme, pas les promesses.