Le cycle immobilier australien finira comme au Canada (baisse de 21 % au cours des 3 dernières années).
Comment cela se produit-il ? Les acheteurs se retirent discrètement alors que la capacité d’achat s’effondre. Des taux plus élevés → pouvoir d’emprunt réduit → demande qui s’amenuise → les prix stagnent ou diminuent lentement.
La leçon inconfortable pour l’Australie n’est pas « une crise approche ». C’est que l’immobilier n’a pas besoin de s’effondrer pour entraîner de mauvais résultats.
Des prix stables, des coûts de détention élevés, un levier accru et des opportunités manquées ailleurs peuvent tout aussi bien causer des dégâts. Le Canada pourrait simplement suivre le même plan d’action un peu plus tôt.
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Le cycle immobilier australien finira comme au Canada (baisse de 21 % au cours des 3 dernières années).
Comment cela se produit-il ? Les acheteurs se retirent discrètement alors que la capacité d’achat s’effondre. Des taux plus élevés → pouvoir d’emprunt réduit → demande qui s’amenuise → les prix stagnent ou diminuent lentement.
La leçon inconfortable pour l’Australie n’est pas « une crise approche ». C’est que l’immobilier n’a pas besoin de s’effondrer pour entraîner de mauvais résultats.
Des prix stables, des coûts de détention élevés, un levier accru et des opportunités manquées ailleurs peuvent tout aussi bien causer des dégâts. Le Canada pourrait simplement suivre le même plan d’action un peu plus tôt.