Ça s'appelle un atterrissage dur :

Prêt bancaire de 10 millions, le prix de l'immobilier chute soudainement à 1 million, l'emprunteur A se fait licencier et perd son emploi, il monte sur le toit et saute « biu », reportages : le prêt immobilier pousse à la mort. La banque a 10 millions de créances douteuses en plus.

Ça s'appelle un atterrissage mou :

Prêt bancaire de 10 millions, le prix de l'immobilier baisse à 9 millions, l'emprunteur A vend la maison à 9 millions, il doit encore 1 million à la banque, il serre les dents et continue à rembourser lentement comme un bœuf, l'emprunteur B reprend la maison avec un prêt de 9 millions, puis le prix de l'immobilier baisse à 8 millions, l'emprunteur B vend la maison à 8 millions, doit encore 1 million à la banque, continue à rembourser lentement comme un bœuf, et ainsi de suite, emprunteurs A B C D E F G soutiennent ensemble cette tendance à la baisse, la banque n'a pas de créances douteuses, elle a N travailleurs dévoués en plus.