Que se passe-t-il actuellement dans le secteur bancaire canadien ?
La réponse est : Le grand test de la réforme de Bâle IV. En tant que l'un des premiers pays à adopter cela, la Banque du Canada doit désormais gérer plus de 30 000 règles de validation, des calculs de capital plus complexes et la restructuration des actifs pondérés en fonction des risques.
Derniers développements : L'OSFI vient d'annoncer en juillet de cette année un report d'un an de l'augmentation du seuil de sortie (de 67,5 % à 72,5 %), prévu initialement pour 2026, maintenant repoussé à 2027. Cela semble être un soulagement, mais en réalité, c'est une opportunité de respiration pour les banques - le véritable défi est encore à venir.
Pour les banques, ce n'est pas qu'un jeu de chiffres. De la modélisation des risques à l'infrastructure de données, des processus de conformité à la gestion de la performance, chaque étape doit être réajustée. Les banques qui dépendent des opérations manuelles et des anciens systèmes ? Elles commencent à rencontrer des problèmes.
Pourquoi le monde entier regarde-t-il le Canada ? Parce que les autres pays seront les prochains à mettre en œuvre le Bâle IV. Chaque étape d'adaptation du Canada est un exemple de référence pour les régulateurs internationaux et le secteur bancaire.
La question centrale est la suivante : votre modèle de risque actuel peut-il supporter ce changement ?
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Que se passe-t-il actuellement dans le secteur bancaire canadien ?
La réponse est : Le grand test de la réforme de Bâle IV. En tant que l'un des premiers pays à adopter cela, la Banque du Canada doit désormais gérer plus de 30 000 règles de validation, des calculs de capital plus complexes et la restructuration des actifs pondérés en fonction des risques.
Derniers développements : L'OSFI vient d'annoncer en juillet de cette année un report d'un an de l'augmentation du seuil de sortie (de 67,5 % à 72,5 %), prévu initialement pour 2026, maintenant repoussé à 2027. Cela semble être un soulagement, mais en réalité, c'est une opportunité de respiration pour les banques - le véritable défi est encore à venir.
Pour les banques, ce n'est pas qu'un jeu de chiffres. De la modélisation des risques à l'infrastructure de données, des processus de conformité à la gestion de la performance, chaque étape doit être réajustée. Les banques qui dépendent des opérations manuelles et des anciens systèmes ? Elles commencent à rencontrer des problèmes.
Pourquoi le monde entier regarde-t-il le Canada ? Parce que les autres pays seront les prochains à mettre en œuvre le Bâle IV. Chaque étape d'adaptation du Canada est un exemple de référence pour les régulateurs internationaux et le secteur bancaire.
La question centrale est la suivante : votre modèle de risque actuel peut-il supporter ce changement ?