Il reste 330 000 milliards de dollars de marchandises dans le commerce mondial à remplir manuellement des ordres ? Ça donne mal à la tête.

Chaque année, 4 milliards de documents papier circulent dans les douanes, la logistique et le secteur financier, avec une efficacité si faible qu'on a envie de frapper sur le clavier. Ce n'est pas un problème mineur - ce qui est en jeu, c'est un flux de trésorerie réel.

Le projet TWIN numérise ce système obsolète grâce à la technologie IOTA. Il est déjà déployé en Afrique, au Royaume-Uni et en Europe, avec le soutien du Forum économique mondial. Quel est l'effet le plus direct ? Les coûts sont directement réduits de 25 %.

La couche technique utilise le réseau principal L1 basé sur le langage Move d'IOTA. Ce n'est pas un PPT qui fait des promesses, c'est une véritable mise en œuvre qui fonctionne dans l'économie réelle.

Le secteur de la finance de la chaîne d'approvisionnement, qui est traditionnel au possible, a enfin commencé à être abordé par la blockchain. Sur le marché des actifs réels (RWA), il y a eu beaucoup de projets qui se contentent de crier des slogans ces deux dernières années, mais peu ont réellement résolu des problèmes. IOTA a donc présenté un véritable résultat.

En partant de la numérisation des documents commerciaux, il y a en fait beaucoup d'espace pour s'étendre par la suite - les bons de stockage, les connaissements, les lettres de crédit, tout cela peut être transféré sur la chaîne. La machine virtuelle Move a en effet un avantage dans ce type de scénario nécessitant un traitement à haute concurrence, elle est beaucoup plus flexible que l'ensemble EVM.

La véritable application à grande échelle pourrait se développer ainsi, sans spéculation, mais en résolvant des problèmes réels.