Le FMI vient de faire l'éloge de la nouvelle flexibilité budgétaire de l'Allemagne. Cela semble prometteur sur le papier, non ? Voici le hic : accumuler des milliards de nouvelles dettes sans réformes structurelles en dessous ? Ce n'est pas une recette pour une croissance durable : c'est repousser le problème.
La véritable question n'est pas de savoir s'ils peuvent emprunter davantage. C'est de savoir où cet argent va réellement. Canaliser des fonds vers des infrastructures à long terme, l'innovation et la productivité ? Bonne idée. Réduire la TVA sur les factures de restaurant tout en laissant des inefficacités plus profondes persister ? C'est de la vitrine.
Les économies ne se transforment pas par des dons à court terme. Elles nécessitent une allocation stratégique, des mises à niveau systémiques et des réformes qui s'attaquent aux causes profondes—et non aux symptômes. Sinon, cette dette devient le fardeau de demain au lieu de la percée d'aujourd'hui.
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GasFeeAssassin
· Il y a 10h
Le FMI loue la flexibilité budgétaire de l'Allemagne, mais l'accumulation de dettes n'a pas été réformée ? J'ai déjà vu ce piège plusieurs fois, ça finira par exploser.
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AirdropHunterZhang
· Il y a 11h
Ah, encore ce piège de discours, emprunter de l'argent sans changer de mentalité, ça finira par mal tourner.
Le FMI vient de faire l'éloge de la nouvelle flexibilité budgétaire de l'Allemagne. Cela semble prometteur sur le papier, non ? Voici le hic : accumuler des milliards de nouvelles dettes sans réformes structurelles en dessous ? Ce n'est pas une recette pour une croissance durable : c'est repousser le problème.
La véritable question n'est pas de savoir s'ils peuvent emprunter davantage. C'est de savoir où cet argent va réellement. Canaliser des fonds vers des infrastructures à long terme, l'innovation et la productivité ? Bonne idée. Réduire la TVA sur les factures de restaurant tout en laissant des inefficacités plus profondes persister ? C'est de la vitrine.
Les économies ne se transforment pas par des dons à court terme. Elles nécessitent une allocation stratégique, des mises à niveau systémiques et des réformes qui s'attaquent aux causes profondes—et non aux symptômes. Sinon, cette dette devient le fardeau de demain au lieu de la percée d'aujourd'hui.