D'abord une question, est-ce que tout le monde tient le coup récemment ?

Cette vague de marché est vraiment déroutante. Le rythme est aussi rapide qu'une montagne russe, les fluctuations sont de plus en plus fortes, et plus on opère, plus on a tendance à tomber dans des pièges.

Le changement d'état d'esprit de mes amis est particulièrement évident : avant, ils fonçaient vers n'importe quel projet qui faisait des airdrops, maintenant c'est devenu : ne pas perdre d'argent, survivre est la chose la plus importante.

De plus en plus de personnes commencent à convertir leurs positions en stablecoins. Après tout, tant que l'on reste à la table, il y a une chance de continuer à jouer. C'est pourquoi, récemment, j'ai commencé à étudier sérieusement le secteur des "stablecoins à rendement".

Mais pour être franc, il y a trop de problèmes sur le marché récemment, je dois être plus prudent à ce sujet. J'aimerais aussi partager certaines réflexions et en discuter avec vous tous.

Le cœur initial des stablecoins est en fait composé de deux mots : stabilité + consensus.

USDT est l'exemple le plus classique. Même si la loi sur les stablecoins GENIUS Act a tiré l'ensemble du secteur vers un cadre réglementaire plus strict, USDT continue d'être soumis à divers doutes : les réserves sont-elles vraiment à 1:1 ? Le portefeuille d'actifs est-il sain ? Le FUD n'a jamais cessé.

Mais la réalité est cruelle : ce qui est le mieux, c'est souvent ce qui est le plus stable. La profondeur du marché, la liquidité, la taille des utilisateurs - ce sont les raisons pour lesquelles il a encore aujourd'hui le plus fort consensus.

Aujourd'hui, ce que veulent les stablecoins générateurs de revenus n'a pas changé, mais la logique sous-jacente est désormais différente :

La stabilité doit être soutenue par des revenus réels.
La consensus dépend de la croyance de chacun en sa capacité à aller loin.

Ce n'est plus aussi simple que "le projet dit qu'il y a une réserve de 1:1", mais il faut répondre à trois questions clés :
D'abord, d'où viennent les profits ?
Deuxièmement, peut-on