Le bureau présidentiel de la Zambie vient de mettre fin à une initiative réglementaire qui aurait forcé les opérateurs miniers à céder au moins 15 % de leurs participations en actions au gouvernement. Le cadre proposé ciblait les producteurs de cuivre et les entreprises extrayant d'autres minéraux stratégiques—des ressources qui alimentent tout, des batteries de véhicules électriques à l'infrastructure des centres de données.
Ce n'est pas seulement une question de politique minière traditionnelle. La demande de cuivre ne cesse d'augmenter à mesure que le monde s'électrifie, et tout changement de politique dans les principales régions productrices crée des répercussions sur les chaînes d'approvisionnement. Pour une industrie déjà en train de surveiller les fluctuations des prix des métaux avec les cycles économiques, l'incertitude réglementaire dans un pays fournisseur clé ajoute une autre couche de volatilité. Le rejet signale que la Zambie garde pour l'instant ses portes ouvertes au capital privé, mais le fait que cette proposition ait même atteint une considération sérieuse montre comment le nationalisme des ressources continue de revenir sur la table.
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FrontRunFighter
· Il y a 3h
franchement, le fait que cela ait même été proposé au départ est le véritable signal ici... le nationalisme des ressources rôde toujours dans la forêt sombre, attendant d'en tirer sa part. la zambie a juste montré de la retenue cette fois-ci, mais ne vous endormez pas là-dessus.
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PensionDestroyer
· Il y a 4h
Ah, le président zambien a bien joué ses cartes, il n'a pas laissé le piège de la nationalisation venir troubler les choses.
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ShitcoinArbitrageur
· Il y a 4h
Cette vague de Zambie a directement rejeté le plan de nationalisation... En d'autres termes, il faut encore compter sur le capital privé pour soutenir cela.
Le bureau présidentiel de la Zambie vient de mettre fin à une initiative réglementaire qui aurait forcé les opérateurs miniers à céder au moins 15 % de leurs participations en actions au gouvernement. Le cadre proposé ciblait les producteurs de cuivre et les entreprises extrayant d'autres minéraux stratégiques—des ressources qui alimentent tout, des batteries de véhicules électriques à l'infrastructure des centres de données.
Ce n'est pas seulement une question de politique minière traditionnelle. La demande de cuivre ne cesse d'augmenter à mesure que le monde s'électrifie, et tout changement de politique dans les principales régions productrices crée des répercussions sur les chaînes d'approvisionnement. Pour une industrie déjà en train de surveiller les fluctuations des prix des métaux avec les cycles économiques, l'incertitude réglementaire dans un pays fournisseur clé ajoute une autre couche de volatilité. Le rejet signale que la Zambie garde pour l'instant ses portes ouvertes au capital privé, mais le fait que cette proposition ait même atteint une considération sérieuse montre comment le nationalisme des ressources continue de revenir sur la table.