Voici quelque chose qui empêche les économistes de dormir la nuit : une économie en plein essor, mais des travailleurs qui disparaissent de l'équation. L'administration actuelle surfe sur une vague de transformation technologique, mais il y a un rebondissement particulier qui se déroule.
L'intelligence artificielle réécrit les règles plus rapidement que quiconque ne l'avait prévu. Les entreprises affichent des bénéfices records tout en réduisant simultanément leurs effectifs. Ce n'est pas l'histoire d'automatisation traditionnelle que nous avons entendue auparavant—cette fois, c'est différent. La technologie ne se contente pas de remplacer les ouvriers des chaînes de montage ; elle s'attaque aux travailleurs du savoir, aux analystes, voire aux professionnels créatifs.
Le paradoxe ? Les chiffres du PIB ont l'air fantastiques. Les indicateurs de productivité sont en plein essor. Mais Main Street ne ressent pas la célébration que Wall Street est en train de vivre. Nous assistons à la création de richesse sans création d'emplois généralisée, un phénomène qui remet en question tous les manuels économiques rédigés avant 2020.
La vraie question n'est pas de savoir si l'IA va transformer notre économie - elle le fait déjà. Ce qui importe maintenant, c'est de savoir si les décideurs politiques peuvent combler le fossé entre la prospérité technologique et la prospérité humaine. Car une économie qui fonctionne brillamment sur le papier mais laisse des millions de côté n'est pas durable, peu importe à quel point les graphiques sont impressionnants.
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AirdropF5Bro
· Il y a 14h
le gdp hausse c'est bien, de toute façon nous, les travailleurs, ne le ressentons pas
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GlueGuy
· Il y a 14h
ai cette fois c'est vraiment décevant, la hausse du PIB a causé la perte d'emplois, qui peut accepter ça ?
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WhaleStalker
· Il y a 14h
La prospérité sur papier reste sur papier, le portefeuille des gens ordinaires est l'économie réelle.
L'IA est vraiment en train de prendre le pain des travailleurs du savoir, cette fois c'est sérieux.
Le PIB augmente rapidement, mais les opportunités d'emploi ? Elles ont disparu.
Wall Street fait la fête, Main Street pleure, c'est la situation actuelle.
À quoi bon de belles données, il faut que quelqu'un gagne de l'argent.
Voici quelque chose qui empêche les économistes de dormir la nuit : une économie en plein essor, mais des travailleurs qui disparaissent de l'équation. L'administration actuelle surfe sur une vague de transformation technologique, mais il y a un rebondissement particulier qui se déroule.
L'intelligence artificielle réécrit les règles plus rapidement que quiconque ne l'avait prévu. Les entreprises affichent des bénéfices records tout en réduisant simultanément leurs effectifs. Ce n'est pas l'histoire d'automatisation traditionnelle que nous avons entendue auparavant—cette fois, c'est différent. La technologie ne se contente pas de remplacer les ouvriers des chaînes de montage ; elle s'attaque aux travailleurs du savoir, aux analystes, voire aux professionnels créatifs.
Le paradoxe ? Les chiffres du PIB ont l'air fantastiques. Les indicateurs de productivité sont en plein essor. Mais Main Street ne ressent pas la célébration que Wall Street est en train de vivre. Nous assistons à la création de richesse sans création d'emplois généralisée, un phénomène qui remet en question tous les manuels économiques rédigés avant 2020.
La vraie question n'est pas de savoir si l'IA va transformer notre économie - elle le fait déjà. Ce qui importe maintenant, c'est de savoir si les décideurs politiques peuvent combler le fossé entre la prospérité technologique et la prospérité humaine. Car une économie qui fonctionne brillamment sur le papier mais laisse des millions de côté n'est pas durable, peu importe à quel point les graphiques sont impressionnants.