Un milliardaire qui n'achète jamais de memecoin : il a survécu dix ans sur le marché des cryptoactifs avec six règles d'or.

Pourquoi ne touche-t-il pas au memecoin ?

Ce n'est pas parce qu'il ne suit pas le rythme, mais parce qu'il ne joue tout simplement pas sur cette piste.

Karnika E. Yashwant, connu dans le milieu sous le nom de “Monsieur KEY”. À 14 ans, alors qu'il abandonnait l'école, personne n'aurait pensé qu'il deviendrait ce qu'il est aujourd'hui : à la tête de plusieurs entreprises Web3, avec plus de 150 personnes dans son équipe, et un bureau à Dubaï. Il appelle cette ville “la capitale de la liberté numérique du futur”.

J'ai remarqué un détail : pendant que les autres comptent combien de fois ce cycle peut multiplier, il pense déjà à ce qui se passera dans dix ans.

100 dollars d'achat, 3500 dollars de renforcement, si ça tombe en dessous de 1000, je garde encore.

En parlant de logique d'investissement, M. KEY a dit quelque chose de très touchant :

"Quand j'achète des choses, je ne me soucie pas de savoir si ça va augmenter demain, je me soucie seulement de combien ça va valoir dans dix ans. "

Il a acheté des Ethereum pour 100 dollars à l'époque, puis a continué à acheter à 3500 dollars. Il a regardé le prix tomber en dessous de 1000 sans en vendre un seul.

Pourquoi ?

“À mon avis, l'Ethereum a toujours été sous-estimé. Le Bitcoin ? C'est un actif de niveau million de dollars, son prix n'est simplement pas encore au rendez-vous.”

Sa façon de jouer n'est totalement pas sur la même longueur d'onde que celle des petits investisseurs. Alors que tout le monde se débat pour savoir si le Bitcoin va atteindre 175 000 ou retomber à 45 000, il a déjà anticipé cinq étapes en arrière.

Il y a une expression qu'il approuve beaucoup - Robert Kiyosaki l'a mentionnée dans “Père riche, père pauvre” : “On gagne quand on achète, mais on ne peut pas être sûr de gagner quand on vend.”

“Si vous comprenez vraiment la valeur future d'une chose, alors au moment où vous l'achetez, vous avez déjà gagné. C'est juste que le prix ne s'est pas encore ajusté.”

Pourquoi les petits investisseurs perdent-ils toujours ?

Monsieur KEY ne tourne pas autour du pot.

“Ils n'ont tout simplement pas le gène des gagnants,” dit-il, “ils veulent s'enrichir, mais ne souhaitent pas devenir ce genre de personne capable de supporter la douleur, de rester calme dans l'incertitude et de réfléchir clairement au milieu du chaos.”

Ces mots peuvent sembler durs, mais ce n'est pas qu'il méprise qui que ce soit, c'est juste qu'il a vu trop de choses. Après plusieurs centaines de cycles, il a vu trop de gens abandonner leur stratégie à long terme pour des spéculations à court terme.

“Tout le monde dit 'si seulement j'avais acheté des bitcoins en 2012'. Mais la vérité est qu'ils ne les auraient pas gardés jusqu'à maintenant. Ils auraient vendu dès que ça aurait doublé ou quintuple, car ils n'ont tout simplement pas cette foi.”

À ses yeux, la richesse ne se construit pas en poursuivant les tendances, mais en devenant ce type de personne qui “peut supporter” et en l'accumulant lentement.

Les six lois d'or de M. KEY

Monsieur KEY a ses propres règles, qui ont été mises à l'épreuve par les marchés haussiers et baissiers, les bulles et divers FUD.

1. Faites vos propres recherches, ne croyez pas aux histoires.

Il ne se fie pas aux recommandations des influenceurs, ni aux histoires virales. Chaque investissement est basé sur une recherche approfondie - ce n'est pas juste une question de faire défiler des tweets, mais de vraiment comprendre la technologie, l'équipe, l'économie des jetons et le moment d'entrée.

S'il n'explique pas clairement sa valeur, il ne bougera pas du tout.

2. Suivez l'argent intelligent

Les particuliers sont passifs, les institutions sont stratégiques.

Monsieur KEY observe silencieusement les flux de capitaux - ces accumulations discrètes, sans se vanter sur les réseaux sociaux de ses positions. Il entre toujours sur le marché avant l'arrivée de la grande foule et sort avant que tout le monde ne réalise ce qui se passe.

3. Réfléchir en cycles de dix ans

Un actif va-t-il chuter de 40 % le mois prochain ? Il s'en fiche. Ce qui l'importe, c'est où il sera dans dix ans.

Cette perspective à long terme lui a donné un avantage que les autres n'ont pas : lorsque les autres paniquent à cause des fluctuations à court terme, il accumule des jetons.

4. La foi est plus importante que la commodité

Faire face aux fluctuations du marché ne repose pas seulement sur des stratégies, mais aussi sur la foi.

Monsieur KEY n'investit pas dans l'actif lui-même, mais dans le résultat qu'il est prêt à attendre.

5. Prendre du recul, rester calme

Les décisions les plus cruciales ne consistent souvent pas à acheter quoi que ce soit, mais à ignorer quoi que ce soit.

Il a simplifié son cercle social, filtré les sources d'information et concentré son attention sur ce qui a vraiment de la valeur - et non sur le bruit anxiogène.

6. Ne jamais toucher aux memecoins

M. KEY n'a jamais acheté aucun jeton de type memecoin.

Ce n'est pas parce qu'il ne sait pas comment jouer, mais parce qu'il n'est tout simplement pas dans ce jeu.

“Si vous voulez une stimulation rapide de la dopamine, alors allez trader. Mais ne confondez pas cela avec l'accumulation de richesse.”

Ses positions - allant du Bitcoin, de l'Ethereum aux projets d'infrastructure soigneusement sélectionnés - sont toutes basées sur l'utilité, la vision à long terme et la conviction macroéconomique.

C'est cette mentalité qui lui permet de survivre à chaque cycle et de vivre de mieux en mieux.

Écrit en dernier

Dans le monde des cryptomonnaies, il n'y a pas de “recette magique pour s'enrichir du jour au lendemain”, ni de “jeton divin qui ne se trompe jamais”.

Mais il existe quelque chose de certain : un cadre de pensée clair.

L'histoire de M. KEY n'est pas une question de “sauter les étapes”, mais de “toujours garder le bon jugement”.

Comme il l'a dit :

“Ce n'est pas d'abord devenir riche puis réussir, mais d'abord réussir puis devenir riche.”

Dans ce monde, le succès est d'abord un état d'esprit. Tout le reste n'est que secondaire.