Quel est le niveau d'exigence pour commencer à prendre des commandes sur une plateforme traditionnelle de sous-traitance ?

Télécharger une pièce d'identité, lier un compte bancaire, authentification par reconnaissance faciale, etc. - ce processus est presque un cercle vicieux pour les freelances au Venezuela, en Colombie et au Guatemala. Des documents incomplets, des comptes bancaires restreints, une connexion réseau intermittente, chaque maillon peut bloquer les opportunités.

Mais certaines plateformes commencent à changer d'approche.

Des nouvelles plateformes comme Worka et TalentChain n'exigent qu'une chose : une adresse de portefeuille Plasma. Le système va scanner le comportement sur la chaîne de cette adresse au cours des six derniers mois : les revenus sont-ils stables ? Les interlocuteurs sont-ils diversifiés ? A-t-il participé à des opérations suspectes ? Si les données sont saines, l'accès est accordé directement. Aucun justificatif papier n'est nécessaire.

Un gars de Medellín qui fait du montage vidéo a reçu 11 transferts USDT à la même adresse. La plateforme a vu l'historique et lui a directement augmenté son niveau de crédit. Il a dit : "Je n'ai pas besoin de prouver comment je m'appelle, je dois juste prouver que je suis fiable."

Ce n'est pas une utopie décentralisée.
C'est le registre des coûts : la plateforme élimine la vérification manuelle KYC, l'accès des utilisateurs est instantané, les paiements et l'identité sont liés, et les litiges peuvent être retracés dans les enregistrements de la chaîne. Efficacité élevée, le risque est en fait plus contrôlable.

Le plus important est que—ces personnes « sans papiers mais avec des compétences » peuvent enfin vivre de leurs talents. Alliance des travailleurs numériques d'Amérique latine 2024