Le nouveau patron de la SEC déclare : la réglementation du chiffrement aux États-Unis entre dans une « ère de classification », mais ce changement n'est pas aussi amical que vous le pensez.
Le nouveau président de la SEC, Paul Atkins, a jeté un seau d'eau froide sur le marché des cryptomonnaies lors de son discours à Philadelphie - beaucoup pensaient qu'il adoucirait l'attitude de son prédécesseur, Gary Gensler, mais il a plutôt procédé à une “réorganisation”.
Changements clés
Les jetons ont été divisés en quatre catégories :
Outils numériques
Collection
Token utilitaire
Jetons de titres (réglementation stricte)
La logique fondamentale d'Atkins est intéressante : ce n'est pas le jeton lui-même qui détermine s'il s'agit d'un titre, mais les promesses faites lors de l'émission initiale. Une fois que ces promesses sont tenues ou oubliées, il se peut qu'il ne s'agisse plus d'un titre. Cela pourrait être une bonne nouvelle pour des projets déjà matures comme ETH et SOL.
Mais la question est : qui va juger si l'engagement est tenu ? Où se trouvent les critères ? Cela reste une boîte noire.
Le Congrès est toujours en train de tergiverser
En même temps, la discussion sur le projet de loi de régulation du marché des cryptomonnaies au Congrès est bloquée - les frontières de pouvoir entre la SEC et la CFTC ne sont pas encore clarifiées. La dernière version du projet du Sénat reste très floue.
Résultat : beaucoup de projets de chiffrement ont déjà commencé à se regrouper à Singapour, Dubaï et Paris. Les entrepreneurs restés aux États-Unis se sentent comme s'ils jouaient à la boîte mystère.
Points d'intérêt suivants
La nomination du nouveau président de la CFTC pourrait apporter un soutien aux factions pro-chiffrement.
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La capacité du projet Crypto à retenir les parties prenantes du projet reste une question.
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Le nouveau patron de la SEC déclare : la réglementation du chiffrement aux États-Unis entre dans une « ère de classification », mais ce changement n'est pas aussi amical que vous le pensez.
Le nouveau président de la SEC, Paul Atkins, a jeté un seau d'eau froide sur le marché des cryptomonnaies lors de son discours à Philadelphie - beaucoup pensaient qu'il adoucirait l'attitude de son prédécesseur, Gary Gensler, mais il a plutôt procédé à une “réorganisation”.
Changements clés
Les jetons ont été divisés en quatre catégories :
La logique fondamentale d'Atkins est intéressante : ce n'est pas le jeton lui-même qui détermine s'il s'agit d'un titre, mais les promesses faites lors de l'émission initiale. Une fois que ces promesses sont tenues ou oubliées, il se peut qu'il ne s'agisse plus d'un titre. Cela pourrait être une bonne nouvelle pour des projets déjà matures comme ETH et SOL.
Mais la question est : qui va juger si l'engagement est tenu ? Où se trouvent les critères ? Cela reste une boîte noire.
Le Congrès est toujours en train de tergiverser
En même temps, la discussion sur le projet de loi de régulation du marché des cryptomonnaies au Congrès est bloquée - les frontières de pouvoir entre la SEC et la CFTC ne sont pas encore clarifiées. La dernière version du projet du Sénat reste très floue.
Résultat : beaucoup de projets de chiffrement ont déjà commencé à se regrouper à Singapour, Dubaï et Paris. Les entrepreneurs restés aux États-Unis se sentent comme s'ils jouaient à la boîte mystère.
Points d'intérêt suivants