Un autre grand acteur du Web3 a obtenu son laissez-passer pour le Moyen-Orient. Animoca Brands vient d'obtenir une licence de principe de la Dubai Virtual Assets Regulatory Authority (VARA), permettant à sa filiale au Moyen-Orient de commencer officiellement ses activités de courtage en chiffrement. Cela semble très routinier, mais la logique sous-jacente mérite d'être examinée de plus près.
Pourquoi Dubaï ? Pourquoi maintenant ?
L'action d'Animoca n'est pas surprenante. En 2024, l'échelle des investissements en blockchain au Moyen-Orient atteindra 2,4 milliards de dollars, Dubaï étant déjà devenu le centre absolu de ce marché. Animoca a déjà commencé à se positionner - en 2024, elle a investi 7 millions de dollars dans Param Labs aux Émirats arabes unis et a promis un investissement de 5 millions de dollars au fonds NEOM en Arabie saoudite. Obtenir une licence de courtage équivaut à améliorer ses capacités de gestion d'investissement en un service de trading direct.
L'ambition derrière le numérique
Fondée en 2014, Animoca a déjà investi dans plus de 540 projets Web3, avec une capitalisation boursière des tokens de son portefeuille dépassant 45 milliards de dollars. Ce n'est pas seulement un bailleur de fonds pour The Sandbox et Axie Infinity, mais elle se lance également dans le trading. Ce changement est crucial : passer d'un statut de LP passif à un contrôle actif de la liquidité des transactions, avec un accès considérablement amélioré aux données et aux informations du marché.
Quelle est l'imagination du Web3 au Moyen-Orient ?
Dubaï souhaite créer un centre mondial du Web3, et l'arrivée d'Animoca est un signe. Une fois que l'exploitation à grande échelle sera en place, cela attirera davantage de capitaux institutionnels et de particuliers dans cet écosystème. En référence aux 2,4 milliards de dollars d'investissements au Moyen-Orient l'année dernière, ce marché est en train d'accélérer.
La question clé est : Animoca peut-elle reproduire son modèle de succès en Asie pour établir un véritable hub de trading et de liquidité au Moyen-Orient ?
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Les géants du Web3, Animoca, s'implantent au Moyen-Orient : quelle est la profondeur de cette manœuvre ?
Un autre grand acteur du Web3 a obtenu son laissez-passer pour le Moyen-Orient. Animoca Brands vient d'obtenir une licence de principe de la Dubai Virtual Assets Regulatory Authority (VARA), permettant à sa filiale au Moyen-Orient de commencer officiellement ses activités de courtage en chiffrement. Cela semble très routinier, mais la logique sous-jacente mérite d'être examinée de plus près.
Pourquoi Dubaï ? Pourquoi maintenant ?
L'action d'Animoca n'est pas surprenante. En 2024, l'échelle des investissements en blockchain au Moyen-Orient atteindra 2,4 milliards de dollars, Dubaï étant déjà devenu le centre absolu de ce marché. Animoca a déjà commencé à se positionner - en 2024, elle a investi 7 millions de dollars dans Param Labs aux Émirats arabes unis et a promis un investissement de 5 millions de dollars au fonds NEOM en Arabie saoudite. Obtenir une licence de courtage équivaut à améliorer ses capacités de gestion d'investissement en un service de trading direct.
L'ambition derrière le numérique
Fondée en 2014, Animoca a déjà investi dans plus de 540 projets Web3, avec une capitalisation boursière des tokens de son portefeuille dépassant 45 milliards de dollars. Ce n'est pas seulement un bailleur de fonds pour The Sandbox et Axie Infinity, mais elle se lance également dans le trading. Ce changement est crucial : passer d'un statut de LP passif à un contrôle actif de la liquidité des transactions, avec un accès considérablement amélioré aux données et aux informations du marché.
Quelle est l'imagination du Web3 au Moyen-Orient ?
Dubaï souhaite créer un centre mondial du Web3, et l'arrivée d'Animoca est un signe. Une fois que l'exploitation à grande échelle sera en place, cela attirera davantage de capitaux institutionnels et de particuliers dans cet écosystème. En référence aux 2,4 milliards de dollars d'investissements au Moyen-Orient l'année dernière, ce marché est en train d'accélérer.
La question clé est : Animoca peut-elle reproduire son modèle de succès en Asie pour établir un véritable hub de trading et de liquidité au Moyen-Orient ?