Scandale de la fausse donation d’Elizabeth · Guide complet pour suivre l’affaire

① Point de départ : 1er décembre 2025
Elizabeth publie sur les réseaux sociaux une capture d’écran d’une donation de 200 000 HKD, affirmant soutenir les familles touchées par l’incendie à Hong Kong.
Au début, tout le monde pense que c’est un acte positif, puis la situation se retourne instantanément.

② Doute des internautes : la capture d’écran présente trop de défauts
Rapidité digne de Sherlock Holmes :
• Police de caractères non uniforme
• Mise en forme du montant anormale
• Structure du virement qui ne ressemble pas à un vrai reçu bancaire
• Fond qui ressemble à un modèle préfabriqué
En résumé : ça ne ressemble pas à un reçu de don, mais à un montage logiciel.

③ Amplification de l’opinion publique : sa réponse est encore plus invraisemblable que la capture
Après avoir été mise en doute, au lieu de fournir un vrai justificatif, elle tourne autour du pot :
« Problème d’opération », « délai du système », « capture compressée »
Plus elle s’explique, moins c’est crédible, les soupçons s’intensifient.

④ Perte de confiance : la charité utilisée comme outil d’image
Ce qui énerve le plus, ce n’est pas l’absence de don, mais l’utilisation d’une catastrophe pour se construire une image, simuler la bienveillance pour attirer l’attention.
C’est une ligne rouge pour l’opinion publique, même ceux qui font du vrai caritatif en pâtissent.

⑤ Effet boomerang sur le secteur : tout le crypto-monde éclaboussé
Une fausse image fait à nouveau penser au public « ce secteur n’a personne de sérieux ».
Beaucoup, qui avaient mis du temps à redorer leur image, se voient ramenés à la case départ par cette affaire.
Les influenceurs s’indignent : ce n’est pas elle seule qui est humiliée, c’est tout le secteur qui en paie le prix.

⑥ Suite de l’affaire : investigation approfondie
L’affaire ne fait que s’amplifier : anciennes donations, déclarations, partenaires, tout est fouillé.
Conclusion : ce n’est pas un incident isolé, mais une habitude de mise en scène.
Tout le monde soupire : ce n’est pas un simple scandale, c’est tout un champ de scandales.